André-Line Beauparlant s’installe à la Cinémathèque québécoise: exposition et rétrospective

RÉTROSPECTIVE des films d’André-Line Beauparlant

 

jusqu’au 31 mars à la Cinémathèque québécoise

 

LANCEMENT de la publication LA FIN ET LE DEBUT DE L’HISTOIRE

D’André-Line Beauparlant, Martine Delvaux,

Isabelle Guimond et Monique Régimbald-Zeiber

 

Le jeudi 28 mars à 17 h 30 à la Cinémathèque

 

En accompagnement de l’exposition Ce qui est fragile consacrée aux œuvres graphiques d’André-Line Beauparlant, la Cinémathèque québécoise propose une rétrospective du travail documentaire de la cinéaste jusqu’au 31 mars prochain.

Connue pour avoir réalisé les longs métrages documentaires Trois Princesses pour RolandLe petit JésusPanache ou encore Pinocchio, André-Line Beauparlant a également collaboré à la direction artistique d’une vingtaine de longs métrages québécois dont notamment,IncendiesInch’AllahTu dors Nicole ou Les affamés.

Rappelons que l’exposition Ce qui est fragile d’André-Line Beauparlant, présentée en primeur et ouverte au public, se poursuit jusqu’au 19 mai prochain à la Cinémathèque québécoise. L’exposition est l’occasion unique de découvrir une production foisonnante de plus de 200 peintures et dessins créés par l’artiste lors des dernières années et jusqu’à maintenant absents de l’espace public. Fidèle à sa démarche artistique, André-Line Beauparlant s’inspire de sa famille. On retrouve donc plusieurs portraits de son frère Sébastien, handicapé, parmi les œuvres présentées. Une installation vidéo, intitulée Le Baigneur, complète l’exposition.

En lien avec ce cycle, l’ouvrage collectif intitulé La fin et le début de l’histoire sera aussi lancé demain jeudi le 28 mars prochain à 17h30, à la Cinémathèque. québécoise Publié chez Les Presses de l’Université de Montréal, le livre est le résultat d’un travail de recherche-création mené pendant plusieurs années autour des films et des dessins, jusqu’ici inédits, d’André-Line Beauparlant. Le lancement sera suivi d’une table ronde réunissant les trois collaboratrices du livre (Martine Delvaux, Isabelle Guimond et Monique Régimbald-Zeiber) et la cinéaste.